FRIDEL Amélie

Études scientifiques

Les bienfaits de l'E.F.T.
démontrés par la science

Un coefficient appelé “d de Cohen” permet aux scientifiques de comparer l’efficacité de deux méthodes thérapeutiques.

Si ce coefficient est égal à 0.2, l’effet de traitement d’une méthode est considéré comme léger. S’il est égal à 0.5, il est considéré comme modéré.  S’il est égal ou supérieure à 0.8, il est considéré comme important.

Une méta-analyse a trouvé un d de Cohen à 2.96 en faveur de l’E.F.T. lorsque celui-ci a été comparé aux thérapies classiques.

La baisse de différents symptômes

Une étude réalisée par le Dr. Dawson Church a porté sur l’examen de 216 professionnels de la santé.

Ce groupe était composé de médecins, d’infirmières, de psychothérapeutes, de psychiatres, de chiropracteurs et de thérapeutes en médecine alternative. Un auto-traitement en EFT fut utilisé. Il a été examiné si ce traitement avait un effet sur l’anxiété, la dépression et d’autres symptômes psychologiques. Pour conclure, l’auto-traitement par l’EFT a produit une réduction de 68 % de la douleur et une baisse de 34 % de la gravité des symptômes. De plus, il a était remarqué une diminution de 83 % de l’intensité des mémoires traumatiques et de 83% des obsessions.

La guérison d'un cancer du sein

Dans une étude de cas citée par Feinstein en 2010, une femme de 52 ans avec le cancer du sein de stade IV a décidé de ne pas se soumettre aux interventions de la médecine conventionnelle.

Ainsi, elle a utilisé l’EFT à la place en se basant sur de nombreux problèmes personnels.  La patiente a reçu 6 sessions cliniques d’EFT de 60 à 90 minutes. Puis, elle a continué à utiliser la méthode chaque jour jusqu’à un examen de suivi, 8 mois après le diagnostic. A cette consultation, aucune trace du cancer ne restait, à part certains tissus cicatriciels là où s’était trouvé le cancer.

L'amélioration du psoriasis et de ses symptômes

Patricia Hodge a terminé une étude sur l’EFT dans le traitement du psoriasis.  Sa recherche a suivi les progrès de 12 sujets après un atelier EFT de 6 heures.

Les résultats obtenus, depuis le début jusqu’à trois mois après, comprenaient une amélioration significative non seulement sur les évaluations psychologiques mais aussi sur la détresse émotionnelle et symptomatique. Les participants ont signalé la diminution du stress, un meilleur sommeil, moins de traitements médicaux, des améliorations dans les relations, moins de soucis, de colère et de manque d’assurance ainsi que le soulagement des symptômes du psoriasis et la réduction d’autres problèmes de santé. Pour mettre cela en perspective, les traitements médicaux (crèmes, onguents et cortisone) tentent de contrôler les symptômes. Ils sont incapables de changer le cours de la maladie.

La guérison de la dépression

Une étude a été réalisée par les Drs. Church, Brooks et DeAsis en 2012 sur 30 étudiants en psychologie de première année.

Ces derniers souffraient tous de dépression classée de modérée à sévère sur l’Inventaire de la Dépression de Beck. Les participants à ce groupe expérimental ont reçu 4 séances d’EFT de 90 minutes. Le traitement a été cliniquement et statistiquement significatif, car le score post traitement du groupe a annoncé « pas déprimés ».

L'amélioration de scanners de cerveaux vers leur état idéal

En 2004, Andrade et Feinstein ont mené une expérience portant sur les traitements de l’EFT sur des participants souffrants de Trouble d’Anxiété Généralisée (TAG).

Pour cela ils ont réalisé plusieurs scanners afin de révéler l’évolution du cerveau durant un traitement de 4 semaines composé de 12 séances d’EFT. Les scanners des cerveaux progressaient vers leur état idéal au fur et à mesure des séances d’EFT. Ainsi, les fréquences dysfonctionnelles des ondes cérébrales étaient réduites. Cette étude comparait également l’EFT avec la thérapie cognitivo-comportementale, combinée avec des médicaments si nécessaire. Les participants du groupe « EFT » étaient plus susceptibles de maintenir leurs nouveaux rythmes de fréquences des ondes cérébrales si on les comparait au groupe qui a suivi la thérapie cognitivo-comportementale. En outre, les chercheurs ont noté que les personnes traitées avec des anxiolytiques avaient réduit leurs symptômes anxieux, mais que les scans de leurs cerveaux maintenaient les fréquences dysfonctionnelles.

La réduction de phobies des petits animaux

Le psychologue australien Steve Wells a mené une étude dont le but était de comparer deux traitements actifs (l’EFT et la respiration diaphragmatique) pour réduire les phobies spécifiques des petits animaux.

Après une unique séance de 30 minutes seulement d’EFT, le groupe EFT a rapporté une amélioration significativement plus grande que le deuxième groupe témoin. D’autres études menées par Harvey Baker et les collègues de Maria Salasand ont également démontré l’efficacité de l’EFT pour le traitement des phobies spécifiques.

Le soulagement de l'anxiété liée aux examens

Daniel Benor et Karen Ledger ont comparé les effets de l’EFT, du WHEE (Wholistic Hybrid of EMDR and EFT) et de la TCC (Thérapie Cognitivo-Comportementale) pour le soulagement de l’anxiété liée aux examens chez les étudiants universitaires.

Trois groupes ont expérimenté un soulagement de l’anxiété liée aux examens. Cependant, il a fallu cinq séances au groupe TCC pour atteindre le même niveau de soulagement que celui que les groupes EFT et WHEE avaient atteint en deux sessions.

Les améliorations des symptômes de la fibromyalgie

Dans une étude suédoise, Gunnila Brattberg a recruté 86 femmes. Toutes souffraient de fibromyalgie et étaient en arrêt de travail depuis au moins trois mois.

Elles ont été assignées au hasard à un groupe de traitement ou à un groupe « liste d’attente ». Dans le groupe EFT, des améliorations statistiquement significatives au niveau de la douleur, de l’anxiété, de la dépression, de la vitalité, de la fonction sociale, des problèmes de performance et des symptômes du stress ont été observées. De plus, des mesures d’aggravation de la douleur, telles que la rumination, l’amplification et l’impuissance, étaient considérablement réduites et le niveau d’activité était significativement augmenté dans le groupe de traitement comparativement au groupe « liste d’attente ».

Le soulagement des SSPT (Syndrome de Stress Post-Traumatique)

Le Dr. Dawson Church et ses collègues ont contribué à initier des recherches sur l’EFT et le SSPT chez des vétérans.

Leurs études ont documenté l’efficacité de l’EFT pour soulager les symptômes du SSPT, comme l’anxiété, l’insomnie, les cauchemars et l’hyper vigilance, en seulement 6 séances de 60 minutes. Ces résultats se sont maintenus à six et douze mois de suivi. Pour mettre cela en perspective, de nombreux thérapeutes traditionnels soutiennent que le SSPT est incurable.

La diminution des fringales

Dans une étude sur le traitement des fringales et la perte de poids, Peta Stapleton et ses collègues de l’Université Griffith de Brisbane, en Australie, ont comparé l’EFT à un groupe de contrôle.

 96 sujets ont été répartis entre un groupe actif (EFT) et un groupe « liste d’attente » (sans traitement). Le groupe EFT a assisté à q4 séances de 2 heures. En utilisant des instruments standardisés, les chercheurs ont évalué les sujets sur les points suivants : fringales, capacité de restriction et une variété d’indicateurs psychologiques, ainsi que leur poids et leur indice de masse corporelle (IMC). Durant douze mois, les scores des sujets ont diminué sur presque toutes les mesures évaluées. Les sujets EFT ont perdu du poids et maintenu cette perte de poids. De plus, leur capacité à restreindre leurs fringales a augmenté au cours des douze mois de suivi. Mais encore, la plupart des sujets ne pouvaient même pas se rappeler à quels aliments ils avaient été accros dans le passé.

Baisse du taux de cortisol

Les Drs Church et Feinstein ont mené une étude. Ils ont mesuré les taux de cortisol avant et après traitement. Le cortisol est connu pour être l’hormone du stress.

83 participants ont été divisés en 3 groupes : le 1er groupe a reçu 1 heure d’EFT ; le 2ème groupe a reçu 1 heure de  psychothérapie (thérapie par la parole) et le 3ème groupe (groupe de contrôle) n’a reçu aucun traitement. Lorsque les chercheurs ont mesuré les taux de cortisol du groupe ayant été traité par l’EFT, ils ont d’abord pensé qu’il y avait une erreur… Les niveaux avaient diminué de façon si  significative en une si courte période, qu’ils pensèrent qu’il y avait un problème avec leur matériel.  Ils ont donc recalibré leur matériel et recommencé le test plusieurs fois,  obtenant toujours les mêmes résultats. Ils durent donc se rendre à l’évidence: l’EFT était bien responsable de la baisse de cortisol du 1er groupe. Le groupe EFT a enregistré une baisse de 24% de son taux de cortisol ; les autres groupes n’enregistrèrent aucun changement de leurs taux de cortisol.

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